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dans la splanduer de sa noirceur .

13 juin 2009

je me consume et m'élève en même temps.

jamais a l'abri du destin , une force de vie émerge des choses.
je n'est pas de place, coincée entre deux monde et leurs deux douleurs. s'il me plait de rire j'irai au seul endroit ou ma peau ne se sent attaquée, de trop.je me voit aujourd'hui, façadement reconstruite, et pourtant si pale. la sagesse me quitte lorsque l'absinthe brule le reste de mes entrailles. là ce découvre alors une fougueuse envie d'arracher là passion de vous autres hommes pour qui j'ai perdu toute croyance. j'ai aimer maintenant je vois à qu'elle point j'étais vide. j'ai effacer mon être pour effacer mes blessure, j'ai voulu reconstruire la vie en moi puis je t'es trouvée. toi, la vie que je perd. malgré que je voit plus loin , j'ai peur de ce futur, ce futur ou je voit des nuits comme celles ci s'écarter à jamais. si on ne me fuit pas, on insulte mes chairs. convoitise de vos bêtises . je ne veux plus voir de ces hommes pour qui ma peau à l'attirance de ma douleur. je me retrouve donc encore seule, face a ses mensonges.  cet solitude auquel je hurle que sa mort me tarde. et pourtant l'espace dont j'ai besoin et bien plus vaste que des milliers d'étoiles. je n'arrive même plus a exprimer ma torture, tellement mon corps à saigner de l'écoute, tellement mon cœur ne se confie que dans mes larmes. écrire ces passages à l'eau de rose , démembrer de noir et arracher de sang ne me fait plus que revoir les cauchemars impunie de ma vie . ils ne me touchent plus, il ne m'importe plus. pourquoi ai je encore mal.? pourquoi même toi, tu n'a pus m'aider a garder mon cœur en apogée. les flammes de l'enfer n'ont jamais bruler dans ton sang pour que tu comprennent la folie que je désir à chaque moment. ce manque, avide de raison je le cherche, en vain. et rien, rien que des sonorité mortuaire. dépourvue d'âmes sans frisson qui y vive. mon entourage je le aie et pourtant  mes mains sont sans retenue si ce n'est tes  maladresses, et je ne tombe encore pas. les gens qui m'insuportent au miroir de moi même .  mon talent se perd, car la vie pour moi a de plus en plus de gout. mon corps, je le sens bien je le détruit encore, sans un mot, sans un sourire. les rêves les illusions ne sont que des mensonges, fantasmes ou peur, on ne les vie jamais. ou se consume dans un monde , utopie de craintes, un monde à notre image. un monde qui nous tue car comme rien n'y est juste, ils nous perd, il nous exclus. par chance quand un autre voit de la même façon un morceau de notre lune on prend fois et puis on continue, aveugle du monde qui n'a pas de réalité. a chacun la sienne , a chacun sa dureté, j'avais choisis la beauté je me retrouve dans une beauté qui fleterie. la colère et la violence se découvre à moi comme du métal sur un pétale de rose. le poids qui m'y pèse est acharnement d'une violence nouvelle.   comme si mon corps exténuer de se détruire et de se laisser détruire, réagissait en survie pour me carapace, et perdre dans la foulé tout ce qui lui est chers car rien ne compte en fin de compte. et pourtant je voudrais tellement y croire,. l'autre jours on ma dit qu'elle chose , " il ne pourra plus se passer de vous " si je range ma fierté, que j'accepte ma faiblesse et de la laisser visible alors oui, j'aimerais pour combler tout mes cauchemars pour survivre à mon esprit ravageur. toi qui m'a redonner fois et vie .. aurait tu oubliée ? mais de toute fasson les choses on changés, comme elles changerons.. me cœur n'est qu'à toi, et je pense que si tu le lâche personne ne le portera plus pendant un très long moment si tenté qu'il se relève un jour. oh mais diable laissons la ces mots. ou es tu . ?

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26 mai 2009

le poids sous l'ombre qui pèse à l'éphémère libertinage.

branchagesVertBourgeonspik le son sous son sens sentimentale. chez toi, dans ces murs de sang séché résonnent les sonorités sur lequel se furent certaines de nos plus beau sourires. tu porte sur toi l'âme sourde des ondes qui hurlent dans tes haut parleur. ailleurs ton image reste imprégner sur ces fréquences sans pour autant s'éclore. éprise d'un son, au coin d'une page corné je prend la force qui m'entoure, puisant dans le monde d'artistes inconscients. combattre la solitude et l'ennuie, mais surtout s'éloigner de la rage que je porte entouré de vous autres, humains. l'apaisement des douleur ce dépasse souvent dans la captive attention des tournages de pages. le mal ne peut nous toucher. je n'arrive à m'éloigner de toi , ma colère est moindre lorsque ta main sur moi me couvre d'une caresse. ma perle noire, mon précieux. comme je méprise les hommes, qui nous violent.vous n'êtes pas à la hauteur de mon goût pour l'obscénité. votre fonctionnement m'est risible. vous attaquer les filles comme pour aller en guerre, les affolés de votre possible, et la s'offre a vous le choix accepter la défaite ou n'être que méchanceté , nous punir de votre égoïsme. parfois, quant vous arriver a vos fin votre orgueil est en fournaise, vous délaisser donc votre '' truck a plaisir" pour partir le plus violemment possible et lorsque l'on vous méprise vous ne nous regardez plus en face. je vous haie à vous saigner les tripe. le pire c'est que vous vous croyez fort, ignorant. mais toi ma douceur, suis je en sucre pour que tu t'inquiète sans cesse de ma santé ? suis je en sucre, pour que je t'attire comme un cheese cake. je découvre un nouveau sentiment; la colère. se rendre malade à en mourir, bouillir de rage à en délirer de tout ses propres sens. égarer comme chevauchant su le monstre au yeux vert. je ne hurle plus, plus un son ne se porte sur ma langue, moi vipère, moi trop gourmande. la drogue comme jouissance, perdu dans l'immensité. je suis peiné lorsque je voit ces os qui se brisent, lorsque je voit ces poumons brûler. mais, même la tristesse est un sentiment qui vaut la peine d'être vécu à nous ne trouver son coté éblouissant, fortement élimer mais aussi surment dans une mélancolie de pétales mauves. j'ai un souhait, que ma vie trouve un ordre, en paix. je cherche ma force mais aimerais surtout me débarrassée de mes démons dans ma boite à pensée. les gens comme l'ennuie le plus insupportable et l'irritation la plus suprême ne me donne aucune envie de parler et a la fois de m'épancher sans un mot. je m'abandonne donc a l'air du matin laissant mes tendre souvenirs se remémorer, vivant mes humeurs plus pastel comme dans un filet de soie crêpé. l'insouciance d'un chemin dans une plaine me fait rêver, en hâte de mon hameau de paix. j'attends une délivrance au poids que je porte sans savoir y remédier. ce qui m'entoure deviens trop lourd, épuisant et sans motivation, l'instincts de crée se ranime. après ce jours de deuil à mon esprit en vacarme. je vais me retrouver, j'aimerais encore pouvoir frôler du bout des coussinets, la douceur êtrème de la joie , de la paix et d'une douceur interne qui s'éclôt un peu plus chaque jour au contacte d'une belle effusion d'image.
26 mars 2009

le vide, et rien que lui, sans son ni odeur. la mort dans l'air, les veines tombante. même la lune n'éclaire plus.

arbreEffusionAuburnpik Le début d’un temps dans l’air doux. De légers nuages profonds et sombres se mêlèrent a ma sphère. Tourbillonnant comme de malveillantes écumes. Passant devant moi, je retrouve mon silence, en retrait du monde je m’éloigne , je m’enfuis dans l’espace. Un creux de temps qui m’enlace. Délier de mot, je ne peux parler, me contenir est une souffrance qui par omission m’achève. Ma tête hurlante, au tourment de mes esprits. Mon corps reste pourtant las dans l’angoisse sans crispation en abandon de lui-même. Je suis une ruine, mais je m’élève. Mon cœur s’explose, tache le mur pour mieux dégouliner. Intérieurement déménager. Les vomissures du petit matin sonnent l’appel du destin. Je découle, ma voix rauque tremble, je suis vaporeuse. Entourée d’un espace de crasse ou vous entendre mes comme une giclure d’obcséniter. J’écarte mon sang de se mêler au fantasme de ton sexe et pourtant je brûle d’impatience que découle de mes chairs la noirceur d’un sang pourrit. Perverse transfusion. Le silence n’est qu’un lueure. Lorsque tu regardes mes pupils tu y voit cet lueure, qui te pousse à me dévorer, qui te pousse à m’enivrer. Peut importe tes cris, je suis lambeaux, ouverte et en suspens. Je suis la creuvure qui pue à ton balcon, le sang que tu voie sur les carreaux. A la cave il n’y a plus d’escalier pourtant. Le jour n’a pas finit de mourir, mes yeux en orbite bien que mon corps et ma tête morte, mes yeux voit encore le ciel qui défilent. Larme et sang, l’odeur du sex et de la sueur. Je suis vaincue par ce que la souffrance nommerait son plaisir. Perdue et pourtant. Anéantie et dans la douleur. La mort n’est pas là pour moi. Les lames bien que trop tentante ne se livrerons pas a mes caprices. Tout se grises, je part encore. Dans ma peur dans mes cauchemars. Même là ou il n’y a rien, je souffre encore. Tout le monde part , petit a petite. Seule à sentir mon pouls, je dévie. Rien a prendre dans mes bras, rien a chérir sous mon corps. Si mes bras son peut être intacte, mes organes saignent. Il ne suffit pourtant parfois que de ton sourire pour que l’herbe est de nouveau une odeur. Les paroles anciennes me rappelle a mon origine, à ma force ; à boire dans la coupe qui me permet de vaincre. Moi la première. Et quelques chose me soutient.. voir le beau.
24 février 2009

ô ton souffle.qu'il me fasse vibrer chaque dÜne de chair,et que les heures nous emportent là ou la nuit ne vie plus.

nue4pik ta main me prend le bras, je me demande si tu te tiens a moi, ou si c'est moi qui me tient à toi. j'ai peur rien que de savoir que ma nuit sera froide, sans toi, délaisser de tes souffles berceurs. le froid comme ta main déserteras, te chercher jusqu'au bout de la nuit, vivre des cauchemars dans mon lit. mon corps se rend muet, emplie et larmoyant, incapable de m'exprimer, mes mots sortent par mes yeux. chacun marche du coté de sa rive pou mieux vaincre l'esprit torturer de l'autre. sur la berge l'eau calme s'emporte puis s'échoue. les mures se reconstruise dans la solitude et le silence. les kilomètres défilent devant mes yeux je sens nos coeur qui se déchirent. l'élément fauve ne s'apprivoise pas, il nous supporte. mon coeur épuiser physiquement par la distance qui s'accroît te garde en tête de coeur comme un pionnier sa chaîne. dans l'espoir que tu sois là, que ma pensée te ramène de se vide, si proche et si violent. ton odeur et ta chair sont comme des lueurs qui transpercent mes sens. chaque essence de souvenirs, de présence, me heurte un peu plus.
11 janvier 2009

. le ciel n'est que l'immensité que l'homme ne regarde jamais de haut'

brancheFlouBleut_PIKEO

au dessus d'une mer de nuage. au niveau de montagnes le soleil ne masque la terre. le paradis haut dans les air. voler sur les nuages, les transpercés. souvent je regardais le ciel de la mer, me voilas retrouver dans cette distance, l'apnée est la même. au dessus des sentiers de neige se découpe le tranchant du passage. le soleil se meurt sur les neiges éternelles au soleil de glace.elles jouent de leurs poids pour apporter l'ombre . une banquise de nuages s'est formée, aveugle. la neige est venue jusqu'a paris. perdu je demande à la dame du bus," mais ou sommes nous " elle me regarde du haut de ces grand yeux, m'indique mon chemin et me souhaite bon courage. je ne pensais pas que se tromper pouvait etre drôle finalement. la solitude entourée n'est que le brûlement de mes ailes qui se couche à terre. mais je t'es retrouver sous ces couches de mal formulation. toi celui que je veux , celui qui me remet mes couvertures alors que j'ai trop chaud. celui qui prend soins de moi. sans toi je n'aurais plus de sens. c'est pourquoi croquer la vie pour te garder au près de moi sera fait. je savais que cette fougueuse passion bien que masqué résidait. je sais a présent par cette précieuse parole, je comprend mieux, et je connais ma route , sure cet fois, je vivrais pour te donner l'envie. et j'attendrais les conditions certaines. je vois chaque effort. j'aime à ce que tu t'endorme sur moi, j'aime nos cris , nos rires.. m'occuper de toi. je n'ai plus besoin de rien te dire tu lit mes pensée, du me devine comme un livre. je te suis transparente. et je n'en est pas peur car tout est clair, tout es limpide. libre d'aimer et de vivre. tu es mon choix. rien ne pourra y faire. je prend la force, je sais. tu est celui que je porte et que je porterais jusqu'au bout. tu est celui qui réside et ne me lâche jamais. seulement toi , je ne laisse que toi me prendre dans tes bras, m'aimer et t'aimer, m'endormir au creux de ton coup, rire à pleine pommette.

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30 décembre 2008

je me réveil pour le coucher de soleil, mon abdomen c'est re mis à vibrer. palpitation douteuse.

feuilleFaibleCouLEURpikeo un manque terrible fut sous ta protection manquante. les gens ne me faisait plus sortir de moi même, cet bulle mélancolique envahissante comme un nuage de buée autour de mes membres. la vie se fit retrouver entre deux soleil noir d'éclat jouissant. les émotions montant trop vite à mes yeux, j'ai calmer mon pouls. votre puante odeur, je me tourne, détourne mon esprit en mettant bien trop fort les haut parleur , les membres crispé sur mes aiguilles. je rentre dans la brume, sur des ailes de fer. un silence assommant tombe entre la couche de nuage qui sépare le ciel de la terre. se décrocher signifierais être accrocher, je tombe vive. un plaisir se forme l'expérience des chute et des désirs, je vogue sans peine là ou les flot me jetaient. intime secret ou je retrouve mon être vibrant. nécessaire assouplissement. l'amour au froid. n'incrustez pas vos odeur rassurantes. je n'en aime qu'une. refuser de souffrir pour vivre. je suis sans regret. l'oublie s'associe à l'attachement? prise des faiblesse je me laisse guider par se qui par mes gardes me fait me livrer à la douce folie. passionnément belle. l'on crois prendre des choix que l'on ne métrise la vie n'est pas en cordage que l'on serre l'homme petit face au vent. j'ai pensé tout à l'heure pendant que le paysage défilait que ce n'est qu'allant loin dans des relations que le passé s'éclaircissait. now i realize that you was empty and it that why you want me to leave you alone. et rien n'est encore sure. je rêves d'allogène braquer sur une peau nue. la nuit tomber les étoiles entre les yeux. ton souffle enfin posé sur moi, le tient. je me sens lasser, du monde. j'ai retrouver un peu de vie. je te voudrais maintenant pour moi seule , je vais mieux mais je ne veux pas plus d'éloignement. je voudrais revoir les spot de ce live qui me fait hurler. ma fumé coulante dans l'air au multiples couleurs. je recherche mon refuge, mon chez moi , ici ou là je ne sais plus ou je suis. ma chair je fait broyer, j'attends son repos. l'eau de la est transparente le ciel s'y reflète. les abandon sous la mer se sont décrocher de l'extérieure. je repense au sang versé. nos rires me manques. j'ai l'impression de ne plus t'avoir vue depuis des decenie, j'ai l'impression que la terre a trop tourné en mon absence. que ce qui t'animais c'est dissipé sous le manque de paroles. je sais que rien n'a changer et pourtant je me demande. je ne trouve que ma convenance là, dans le savoir de ton corps robuste que j'aime à soigner. ma tête tangue encore des vagues. je perd pieds, je ne sais plus si c'est l'oxygène que je respire qui m'enivre ou si c'est moi qui me transporte. tant de cris mon éveiller, que j'ai le sentiment que je me suis délaver. bonne à rien qu'a re tenter. je vois trouble, je me sens trouble. égarer sous des faux manques, je compense par des plâtré. le verre se souffle comme mes poumons se gonfle , ardent désir, morsure de cou. arrache mes cheveux et transperce moi encore. le vent ne me fait pas peur, il me pousse sur la surface bleue du monde. retourner détourner contourner je griffe ta chair. en pensé je te prends la distance n'est que le faite physique , mais je sens encore en moi les va et viens de nos éclaboussure. toi mon homme dur et doux. j'attends fermement le petit matin ou mes yeux s'ouvrirons sur ton front lisse et beau. j'attends le matin ou tu aura entortiller mes cheveux sur le fil de tes doigts. je n'attends plus rien , je vie. je m'avance à grand pas, comme la vie cour derrière moi , me pourchassant de mon enfance. j'entends encore mon père sur ces projet d'avenir , de partir. à mon âge me retrouver seule.. voilà pourquoi je profite tant que je peu de la bonne chair de ma mère, lui attrapant ces long cheveux pour lui dire de rester près de moi . tout le monde part. mon coeur est a présent sur la mer. il sombre comme les morts. l'amour de présence est traître puisque l'humain peu le combler d'un quart. je pleure, un peu éperdu sous la tempête. le vent faire rage. je cherche encore. quoi ? je n'en sais rien, je ne voit plus. ou est ta main, la tienne, forte et petite que j'aime poser contre mon cou, contre mon plexus et sur mon ventre.. je me sens si petite. et bien trop grande... je n'en dirais mot. cela et a moi mai ouvre grand les yeux et tu saura tout par mon corps, tout se que je ne sais pas. toute ces rougeurs et écorchure que je ne comprends plus. ( je n'exige plus, je n'attends pas , je suis là la main de cette enfant qui me prend la mienne) platonique et éphémère. la mélancholia dans les veines.
28 décembre 2008

pas un murmure de plus. ce qui à coulé est à jamais perdu à la connaissance.

pas une trace , plus une odeur

volte face. j'en deuil d'un quart. transpercée de plaisir , illuminer de douceur. contre des choses sans explications.
lacOmbreRabreBrancheNoisypikeo
sur ma route j'ai vécu l'envie et retrouver des merveilles, sur le chemin j'ai pris mes choix .
à ta convenance, je sais, je prend ma vie et mes fait mes choix.

plus un geste, plus un sons. je ne regrette rien , au contraire les pas se franchissent. dans la nécessiter de solitude , ce soir j'aimerais me rappeler ta promesse; de ne jamais me lâcher, mon ange, prend moi sous tes ailes un instant.

16 décembre 2008

infâme plaisir

marieEauParisPIKEO un peu de ton sang sur le rebords de mes lèvres. lorsque le visage emplie des crevasses de larmes ou ce lie les cris vociférer, j'entre et face à vous il n'y a plus qu'un monstre , cachant ces yeux, près à vous égorger d'un coup d'épingle. je n'attends que vos corps sous ma langue. entre chaud et froids mon corps ne se décident. quelques souffles d'ivresse pour que mes orbites trembles. l'éphémère condition de mon être encorceté. des lames parcoures mon dos. je rêve de m'ensanglantée. oh mes douces addiction, que le sans se mêle à l'alcool. que votre sueur s'imprègne sur ma peau. que je puisse aspirer le sang dont je vous fais transpirer. les sons se mêlent, mineurs délectation. à ce geste et à lui seule, entre deux mures sur deux goûts. mes nuits m'appartiennent. l'eau s'écoulent mais ne lave plus, mon corps s'éliment, des plaques y germes d'horreurs. oh arrachez moi, étreignez ma gorge à m'en percé l'artère. je veux que la folie me monte au oreilles bourdonnement malsain. approche dégoulinant désir. saigne moi de tes griffes. les anches brûles entre les fumigènes. l'asphalte n'est plus froid. cet foule qui n'existe plus. les chaîne qui liasse les contorsions. le feux qui brûle ta peau . cendre de chair. regards de braise. je vois ton corps qui part en fumé lorsque mes songes t'enfonce mon sabre dans les entrailles. saigne et hurle, mon cou t'es livrer entre deux baisés. la chaleur d'une peau qui souffre. tendue et lisse. enfonce moi tes crocs dans les os. vibre et écume toi . laisse moi te regarder comme une proie. interuption
3 décembre 2008

nébuleux noir d'essence. cra.chat

etoileDeLampadairepikeo la remise en question. parler pour s'évacuer. il y a des verres partout, dans tout. qui ronge, qui ronge.. éclat de voix, folie tremblante. souffle de violence, votre peau sous mes ongles. ce calme on le dérange. coupé l'envie, coupé, court écartelé. coeur souffrant, souffreteux, débraillé. chaude noirceur. demi sommeil. mes yeux s'ouvrent et se referme durant mon sommeil. entre le rêves et la réalité, il n'y a qu'une ligne de conscience. mon être sous le brouillard. contente de supporter l'insupportable. de décaler les barrière a les supprimer, effacer au crayon gommer doucement sous les effusions. réagir mieux, se protéger. rêvasser, parler seule , crever. puiser ailleurs et en soit a présent. je loue chaque soir notre amour. au nuits agité écarter. que le calvaire couvre se que rien n'écarte. dans la souffrance et le contentement, je soupire chaleureusement.
20 novembre 2008

des fées se posent sous un lac de neige.

feuillesDeauPIKEO s'arracher les ailes , lorsque l'on vous pousse. la fascination se montre a double tour. mon art est tout se que j'ai , dans mon abîme. mes traces de neutraltintes sont moche et pourtant j'aime les crées. le vent souffle sou la glace. voilà tout ce que je possède entre les doigts , tout ce qui m'a sauvé, c'est mon attache. la rareté de ces êtres, peu importe leurs mots, leurs attitude, ceux avec qui on peu lire entre la peau , le monde si vaste soit il , le monde qui les entoure , cette invisible douce torture. voir les choses , les percevoir, sourire puis laissé sortir une larme. je calme en sois malgré l'incertitude, se laissé emporter , arrêter de s'inquiéter. ressentir les ombres s'étendre comme les caresser de tout plaisir, aimé le noir comme un souffle de passion. aussi profond qu'un mirage sous cette douce expansion. je m'attache rarement , je suis sauvage , mais lorsque je me pose même sur une douceur inconnue la tempête ne fait pas siffler mes oreilles. je ne sais , je divague, ces long moment seule dans mes graves, j'aime et j'ai besoin de retrouver ma vie , à nue, seule, libre de mon coeur de s'époser sur quelque flâneur, au bord de mes yeux sont des branches , au bort de mon souffles tombe des fruit mûre. je joue avec mes rires et mes silences, je cherche la vie ou je pense la trouvé, je sort enfin, doucement me tenant les mains , d'un pas décider je me conjure de me jeté, pour de vrai , rien n'est si haut. et voilà que le temps s'écarte, le monde n'est qu'un cycle, j'aime l'intemporelle. la glace ne me brise pas , je songe a travers, mon esprit n'a pas de prison, je me libère.
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dans la splanduer de sa noirceur .
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