je me consume et m'élève en même temps.
jamais a l'abri du destin , une force de vie émerge des choses.
je n'est pas de place, coincée entre deux monde et leurs deux douleurs. s'il me plait de rire j'irai au seul endroit ou ma peau ne se sent attaquée, de trop.je me voit aujourd'hui, façadement reconstruite, et pourtant si pale. la sagesse me quitte lorsque l'absinthe brule le reste de mes entrailles. là ce découvre alors une fougueuse envie d'arracher là passion de vous autres hommes pour qui j'ai perdu toute croyance. j'ai aimer maintenant je vois à qu'elle point j'étais vide. j'ai effacer mon être pour effacer mes blessure, j'ai voulu reconstruire la vie en moi puis je t'es trouvée. toi, la vie que je perd. malgré que je voit plus loin , j'ai peur de ce futur, ce futur ou je voit des nuits comme celles ci s'écarter à jamais. si on ne me fuit pas, on insulte mes chairs. convoitise de vos bêtises . je ne veux plus voir de ces hommes pour qui ma peau à l'attirance de ma douleur. je me retrouve donc encore seule, face a ses mensonges. cet solitude auquel je hurle que sa mort me tarde. et pourtant l'espace dont j'ai besoin et bien plus vaste que des milliers d'étoiles. je n'arrive même plus a exprimer ma torture, tellement mon corps à saigner de l'écoute, tellement mon cœur ne se confie que dans mes larmes. écrire ces passages à l'eau de rose , démembrer de noir et arracher de sang ne me fait plus que revoir les cauchemars impunie de ma vie . ils ne me touchent plus, il ne m'importe plus. pourquoi ai je encore mal.? pourquoi même toi, tu n'a pus m'aider a garder mon cœur en apogée. les flammes de l'enfer n'ont jamais bruler dans ton sang pour que tu comprennent la folie que je désir à chaque moment. ce manque, avide de raison je le cherche, en vain. et rien, rien que des sonorité mortuaire. dépourvue d'âmes sans frisson qui y vive. mon entourage je le aie et pourtant mes mains sont sans retenue si ce n'est tes maladresses, et je ne tombe encore pas. les gens qui m'insuportent au miroir de moi même . mon talent se perd, car la vie pour moi a de plus en plus de gout. mon corps, je le sens bien je le détruit encore, sans un mot, sans un sourire. les rêves les illusions ne sont que des mensonges, fantasmes ou peur, on ne les vie jamais. ou se consume dans un monde , utopie de craintes, un monde à notre image. un monde qui nous tue car comme rien n'y est juste, ils nous perd, il nous exclus. par chance quand un autre voit de la même façon un morceau de notre lune on prend fois et puis on continue, aveugle du monde qui n'a pas de réalité. a chacun la sienne , a chacun sa dureté, j'avais choisis la beauté je me retrouve dans une beauté qui fleterie. la colère et la violence se découvre à moi comme du métal sur un pétale de rose. le poids qui m'y pèse est acharnement d'une violence nouvelle. comme si mon corps exténuer de se détruire et de se laisser détruire, réagissait en survie pour me carapace, et perdre dans la foulé tout ce qui lui est chers car rien ne compte en fin de compte. et pourtant je voudrais tellement y croire,. l'autre jours on ma dit qu'elle chose , " il ne pourra plus se passer de vous " si je range ma fierté, que j'accepte ma faiblesse et de la laisser visible alors oui, j'aimerais pour combler tout mes cauchemars pour survivre à mon esprit ravageur. toi qui m'a redonner fois et vie .. aurait tu oubliée ? mais de toute fasson les choses on changés, comme elles changerons.. me cœur n'est qu'à toi, et je pense que si tu le lâche personne ne le portera plus pendant un très long moment si tenté qu'il se relève un jour. oh mais diable laissons la ces mots. ou es tu . ?