partir , plus un mot.

la pluie tombe et emporte mon coeur, je suis obnubiler par ce sang. un matin je me suis lève tard, encore endormis par le doxylamine. paris sous un autre air. comme si les feuilles d'automnes, les cloches et des espaces calmes et verdâtres le rendait plus doux, plus clair. marcher sur le rebondit ou les enfant jouerons plus tard. il n'y a personne dans cet suite de route. le sable est désert. j'ai du mal a ouvrir les yeux et pourtant mon éveil est si beau. la chaleur d'ici me découvre. fuyante. je me pose florralement là ou des années plus tôt j'immergeais. dans ce silence inanimé. j'écoute les arbres qui me préviennent, de la tempête de ce soir la ou la colère m'emporte, là ou le noir m'égare. les petit chants d'oiseau volait. contre l'herbe et le soleil, toute contre. l'entre vu de l'eau et du vent, de l'ombre dans la lumière. je contemple se qui me sauvera. car je ne supporte plus mes jours et mes nuit sont bien pires. mes soirées des calvaires et j'y perd toute conscience. je délaisse y écrasant mon coeur. je part me broyant moi même . je ne peut même plus penser, je meurt juste avec les feuilles, je pourris sans rien faire , obsédé par ce qui s'écarte. je ne sui plus fraîche je m'évanouis donc, je ne suis que souffrante allongé contre le sol. je revois ces moment ou je cherchais la mort. mes yeux sont vide, la folie a ma porte, l'amertume et la mélancolie m'empêchent de sourire , de poursuivre. tristement je préférerais attraper la crève sous la pluie, la prendre au vol pour qu'elle au moins me touche. me ronge si elle veut me picorer encore un peu. je la laisserais m'atteindre. je ne veux ni voir , ni entendre. le pluie de la pluie est si agréable. écartez vous. je ne veux plus pensés, qu'au étoiles. partez vous dis je . j'aspire a autre chose. maintenir un calme. mon épreuve. mon monde je retrouve. l'odeur de mente sur mes accords.