20 octobre 2008
la isla bonita . madonna
je reconnais mon clocher. je retrace des pas de l'histoire. sa protection intervenue au danger. terrible est cette liberté donné et irrésistible de joie maquillée. l'abus en est il la confiture dans laquelle on la trempe irrémédiablement. l'air était doux. je ne veux plus me préoccuper , juste m'émerveillée. le temps ne se fait pas sentir, sinon comme de belles couleurs. c'est à ces moments de vie de ce construire quand ils peuvent. je me souviens de tout notre bonheur. j'aime la rassurante présence d'un odeur. comme ouvrir mon espace. la peur des gens, du vif. les troubles des regard , je pense au mal dans leurs yeux, voie les douleurs qu'ils peuvent causés. les ravages qui sont en moi y ont mi une hargne à vos envies. retirer dans une sérénité m'habituant au vide.. je voudrais vider mes cauchemars. un amour sauvage et pure. sec et chaleureux bâtant. couchée sur des lits de feuilles. les gens me parle me serre la main, me congratule de part mon extérieure, m'abaisse parfois par leurs indignent regards m'associant à leurs propos blasphématoire. la peur d'attirer les gens . une pièce en suspends, un manque, perpétuelle et incompris pensai j e. trop aveugle pour ressentir les merveilles, à contre coeur contre mes mots. le temps a l'épreuve. je profitais des moment emplie de joie a m'éblouir dans tes bras, ces doux jours de nuits. j'étouffe les démants de la nuit. quelques craintes, quelques refus, mais retombant il y a encore de la lumière. une pureté résistante. ma fois au beau. s'occuper des gens des gens que l'on aiment. ils s'occupent biens de nous à leurs manières.
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