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dans la splanduer de sa noirceur .
26 mai 2009

le poids sous l'ombre qui pèse à l'éphémère libertinage.

branchagesVertBourgeonspik le son sous son sens sentimentale. chez toi, dans ces murs de sang séché résonnent les sonorités sur lequel se furent certaines de nos plus beau sourires. tu porte sur toi l'âme sourde des ondes qui hurlent dans tes haut parleur. ailleurs ton image reste imprégner sur ces fréquences sans pour autant s'éclore. éprise d'un son, au coin d'une page corné je prend la force qui m'entoure, puisant dans le monde d'artistes inconscients. combattre la solitude et l'ennuie, mais surtout s'éloigner de la rage que je porte entouré de vous autres, humains. l'apaisement des douleur ce dépasse souvent dans la captive attention des tournages de pages. le mal ne peut nous toucher. je n'arrive à m'éloigner de toi , ma colère est moindre lorsque ta main sur moi me couvre d'une caresse. ma perle noire, mon précieux. comme je méprise les hommes, qui nous violent.vous n'êtes pas à la hauteur de mon goût pour l'obscénité. votre fonctionnement m'est risible. vous attaquer les filles comme pour aller en guerre, les affolés de votre possible, et la s'offre a vous le choix accepter la défaite ou n'être que méchanceté , nous punir de votre égoïsme. parfois, quant vous arriver a vos fin votre orgueil est en fournaise, vous délaisser donc votre '' truck a plaisir" pour partir le plus violemment possible et lorsque l'on vous méprise vous ne nous regardez plus en face. je vous haie à vous saigner les tripe. le pire c'est que vous vous croyez fort, ignorant. mais toi ma douceur, suis je en sucre pour que tu t'inquiète sans cesse de ma santé ? suis je en sucre, pour que je t'attire comme un cheese cake. je découvre un nouveau sentiment; la colère. se rendre malade à en mourir, bouillir de rage à en délirer de tout ses propres sens. égarer comme chevauchant su le monstre au yeux vert. je ne hurle plus, plus un son ne se porte sur ma langue, moi vipère, moi trop gourmande. la drogue comme jouissance, perdu dans l'immensité. je suis peiné lorsque je voit ces os qui se brisent, lorsque je voit ces poumons brûler. mais, même la tristesse est un sentiment qui vaut la peine d'être vécu à nous ne trouver son coté éblouissant, fortement élimer mais aussi surment dans une mélancolie de pétales mauves. j'ai un souhait, que ma vie trouve un ordre, en paix. je cherche ma force mais aimerais surtout me débarrassée de mes démons dans ma boite à pensée. les gens comme l'ennuie le plus insupportable et l'irritation la plus suprême ne me donne aucune envie de parler et a la fois de m'épancher sans un mot. je m'abandonne donc a l'air du matin laissant mes tendre souvenirs se remémorer, vivant mes humeurs plus pastel comme dans un filet de soie crêpé. l'insouciance d'un chemin dans une plaine me fait rêver, en hâte de mon hameau de paix. j'attends une délivrance au poids que je porte sans savoir y remédier. ce qui m'entoure deviens trop lourd, épuisant et sans motivation, l'instincts de crée se ranime. après ce jours de deuil à mon esprit en vacarme. je vais me retrouver, j'aimerais encore pouvoir frôler du bout des coussinets, la douceur êtrème de la joie , de la paix et d'une douceur interne qui s'éclôt un peu plus chaque jour au contacte d'une belle effusion d'image.
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dans la splanduer de sa noirceur .
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