15 février 2008
au bout d'un arbres conserver par le gèle , palpant le fantasme d'une respiration immoralement cristalliser .
son pull mêler de mes cheveux cendré , j'occupe mon vide .
mes membres fendu , résistante dans l'âme . je me bat , je vie .
le froid prend mon ventre tendus . les polices de caractères des livres...
mes émotions forme une harmonie de son qui ne mentent pas.
la froideur de la bastide , des pensée illusoirement imagée de ton souffle.
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