la tête me tourne , enfermer ici .

mes cheveux couper . mes petit pied laquer . et mon cendar ' ' attention je vais exploser ' - tout est trop calme de lui , ici . connaître le mal quant il passes sans le corrompre de ces crampes libertines. qu'elle perfide deuil de perversion , qui se complaint au crépuscule. au sommet des profondeur nocturnes , face au précipice , des chutes de rivières y coulent sans interruption . les fleures funambules dans cette nuit velouté d'ordure et d'étoile trop épancher à en devenir catin . la subtilité des flammes claires échappent au sombres pièces des lueur sinistres. l'idée mortelle se place solitairement dans l'ombre des reflet de cristal . les chant qui ne s'éteigne ni en défleuriture stagne dans l'air trop bruyant au jour. un fil d'argent , un fruit d'or et des contour corner par les rongissure du feux. cueille les , il mourront aussitôt , ferons pâlir les étoiles du chant des astres . l'aube se noie , qu'elle enluminure . l'exil du gèle , la crispation de la lumière. souffrir cruellement , baigner dans le sang des arbres , la dépression de ma finesse des soupires. le coeur des flammes se trouvent dans un fleure de nacres. aussi terrible que splendide,tel une flamme nue , ses yeux brille d'un éclat insoutenable . { en train de lire le silmarillion de tolkien }