5 mars 2008
une arraigner se cache dans les blanc de mes yeux , des reflet entre vitre et rideaux .
cette subjugation de bonheur en viens à m'en faire pleurer de bonheur . placer en pleinitude . arrêter dans l'espace de mes étoiles , planant dans le vide parfumer de sa peau . ce qu'il ne dit et que j'apprend , dans notre éloignement . nos coeur qui se taisent tellement vertigineux de se qu'ils ressentent . ces mots et ces images , ces soupires et ces cris . nos étreintes ne sont que fabuleux fantasmes . dans Notre confins de bonheur . comme tu me décrit percher nue dans mes nuées . ces poussée de douceur , cette envie de * flâneur .
* se reposer sans avoir de but précis
dieu me garde mais il n'y a que tes bras qui me déchausse de ma peine.
ton souffle et ton regard me transperçant, lorsque je te contourne .
mêler mes membres au tient. épauser mes cheveux sur tes reins .
vivre librement au regard des nuages seulement .
voilas ma raison de me battre .
j'y arriverais . ouvrez l'oeil .
{ pouvoir déposer mon dernier murmure d'éveil
chaque soir contre tes formes , me blottir
sur tes paumes , et te savoir là à chaque réveil .}
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