embaumé d'amour et de noirceur

me voilà parmi tant de chaleur, de sueur et me voilà rêvante du bruit des vagues. la fumée luminescente, presque nue. lorsque l'on écrit, je trouve que l'on a le droit d'être qui l'on veux, au grée de nos palpitations. du dramaturge à l'effort humé du bonheur. il y a des mots qui non pas de sonorité, des chose qui s'efface dans mes doigts mais que je ne prononce jamais, des mots et de mon esprit se libère de mon corps sans que j'ai verdict ou réflexions à m'enivrer. sans rattachement dans le gouffre de tendres vivres... pleine d'espoir à l'afflux. mes genoux brûle , j'expectore, je vois les limite de mes folie, au limite de mon corps. quelques peine son partie de moi pour ma surface pour partir ensuite à jamais. voilà que le silence ce fait contempler. j'avais tant peur, des peines trop repenser me dit ils, la peur de revivre l'enfer, l'enfer de la solitude, avec des fantômes pour compagnie. mais les choses change , je fait confiance a la vie et prend les choses en main, e vous montrerai après à moi même , se que la foie de vivre embarque. ces griffes avait pénétrer dans ma peau a y extirper mon sang. la culpabilité au jeune émois, des choses amusante qui ne me convienne pas. je ne me déchaîne plus, frigide à mes heures de nouvelles cadences on frappé contre moi, une bataille pour plus loin. et voilà que même sou les pires visages tes yeux m'entraîne encore là ou mon coeur est enflammé, juste là, près de ta chaleur. mon coeur vibre a tes côté, je tiens a toi comme a la prunelle de mes pixels. sans toi , je me doute que tout ce que j'ai acquis aurais été possible, car sans le vouloir tu m'a aidé , en toujours me soutenant, en étant là , mon ami. je suis heureuse de m'occuper de toi, à ces matins inconnues. sentir le grain de ta peau sous mes sens olfactif, et m'éveiller le sourire en moi, de voir ta peau mêler a la mienne. je vois tes efforts, et redouble moi aussi, dans un confort commun , je t'aime, peu importe le reste , peu importe le tout, quand je te prend dans mes bras je pourrais bien mourir que cela ne me ferais rien. le soleil est là, j'apprend...