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dans la splanduer de sa noirceur .
27 août 2008

plus un mots, plus rien ne répond, le vide.

Table_lampe_danielli_pikeo



*  que savez vous d'une femme qui souffre dans son silence. que savez vous d'une porte que l'on fracasse. ce n'est pas tant la douleur physique qui m'attaque mais plutôt le mal que j'ai ressentie au fond de moi. je n'étais pas prévenu, oui, se fut impromptue. je n'est rien compris et pourtant je me suis débattue. ne sachant plus que faire , hurlant sourdement de toute mes forces. la violence, le passé. se dire que toujours les gens ont essayer et essayerons et c'est a moi  de les tranchés. seule , de m'auto protéger. leurs langue de vipères prennent le mal pour le bien, vous foutez pas d'ma gueule j'ai pas besoin d'ordure comme vous, j'men sort très bien toute seule. lâchez moi, partez, l'incultibilité. meurtri peu a peu, l'idée de ce caché. mais non de s'enterrer. je les aie , dans leur abus. je ne peu les voir faussement groupé ils croient que la vie est leurs mascarades. tout ne tombe pas des fenêtre c'est pour sa qu'ils dépouilles. abusé de l'inconscient pour éreinté la colère. j'ai eu peur , dans la foutèse des autres a ne rien voir, dans ce noir de nuages, j'ai eu peur, j'ai eu mal et personne pour m'adresser rien qu'un vrai regard , un regard qui sauve, un regard auquel on s'accroche , un qu'on cherche. des gentillesses d'intérêt. des mots de bonne figure. quelques douces immatures. perdu dans leurs vapeurs, je ne supporte plus ces nuits perdus les jambes coupé, des bleu et piqûres partout ne sachant plus ou et quand. si je me rappelle, j'ai couru, pour rien , très loin , j'ai couru , je suis tombé sur les cailloux, encore et encore, seule sous les arbres en poussières. mes narines s'étouffe , je vie dans vos cendre. le gentil gas dl'a pharmacie m'offre de l'eau , j'épure mes souillures. les vomissures on dévaster mon estomac. ce soir une trètre viens, j'aimerais tant parler a quelqu'un mais je le sais, on dira que c'est ma faute, l'on dira que je n'auras pas du , et de quoi puis je savoir? je ne savais pas que l'on allé me cogné en pleine nuit, lors de mon sommeil. l'on ne m'avais pas prévenu que la vulgarité protégeais, là bas? moi même ma chair m'a encore trahie. le bateau me fait tombé a la renverse, je m'écroule, je me blottie, contre mon amie, contre ma mère, celle qui me sourit dans cette peine,. que personne ne veux voir, qui m'accapare. me voilà retrouvé , dans mes peines égarer , seule, seule. ceux vers qui je me tourne, détourne mes paroles, n'entende pas. je ne sais plus comment parler pour qu'enfin on me voie. je pense qu'enfin ils n'y aura que mon propre regards, pour me sortir de sa. j'ai peur, j'ai des vapeurs, j'ai chaud, dans cette froideur. je me suis évanouie dans un vacarme hors d'alêne, je vous est supprimé , comme l'on égard le monde, lorsqu'il vous frappe sans mot. je me retrouve là, me confier me manque. je vous demande votre aide , vous me quittez, la vie emporte le coeur des damnés. j'en deviens incapable, je lutte pour ne pas être hanté , je ne dis plus rien, je me masque. l'on ne sais pas ici qu'esse ce que sais . les gens n'écoutent pas, m'en voilà ainsi. peu importe, la vie avance, remise a ma place sur se fléau inévitable, la solitude ralant les fond. voilà que la nourriture parait étrange. voilà que je la ressort du placard, elle celle qui me rassure, elle qui voie la carance et l'embrasse, elle qui n'existe pas , elle qui n'est que bonne a prendre les peines, lorsqu'on ne les voies pas. je haie ces odeurs, je me sens infiniment sale.

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