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dans la splanduer de sa noirceur .
10 février 2008

notre amour est un perpétuelle début , infinie .

arbres mes dernier mots furent je t'aime , pour ce soir . la libre penser même de vivre . je décide fermement de sacrifier mes larmes inutiles . bien plus forte que jamais , je serais . je me trompe bien , petit corbeau inaccessible , mon unique fois . je t'approche par mon coeur emplie de douceur . quand la tristesse me dominent sale nui tout , c'en est fini , il m'a montrer sa lame , d'un coup d'oeil de cygle , je tranche donc ces gouttes en pleins coeur . sur la vapeur fumeuse de son pull . j'en ai marre que les gens se pressent , laisser moi contemplé , vivre , l'air agiter . ma colère se fut renverser par un calme ensoleiller . je ne laisserais donc pas ces l'enfer de l'émotion me vaincre . si je la crée , je peu donc la tenir sous respect d'un oeil . le seul point faible de passer coter , de perdre est enfin rompue . pour sa grande totalité . comme j'ai de la chance , et comme je suis heureuse . se besoin de parler se comble , il apaise la maigreur et l'estomac perturbée de la veille . qu'elle résurrection , briser mes chaîne , un ange m'a prise et je m'envole , on c'est voler au monde . sa peau si douce , ces mains si précautionneuse , à en tenir mon front , ne jamais s'arrêter devant l'adversité . multitudes de combat , pour la force de cette fleure névrosé de sève . oh que le temps froid me parait doux dans tes bras , ces moment d'enfance et de bien être , je dissipe mes peur mes crainte . affirmément confiante . positive sur tes formes . je prierais pour que dieu te garde . proche , nous y sommes si proche . fermer mes yeux , sur ton visage nue , tes cilles noir , ton visage si apaisant . ta voix comme un songes . mon ange aeternam . que brûle les flammes de notre passions . chaire nue , senti ta peau en moi . n'oublie jamais que je t'aime . tu ne t'égare jamais loingt de ma pensée . je sentirais toujours ton souffle dans mon coeur . mon ami , mon amant , mon amour , mon ennemie . que brûle nos bougies au son des sabres , t'envelopper d'une couche d'amour pour que rien ne t'atteigne . je suis là . plus là que jamais . bonne dissolutions d'étoiles , tendre chevalier . sur deux voix enjoleusement amoureuse . hier soir , je me suis endormie nue . t'incluant dans mes insomnie . mon profond espoir ! se soir , je m'endors en paix , joyeusement convaincue , j'espère que tu sais la sincère lueur qui m'éclaire , dans tout les temps , parmi chaque vent , sur une brise , ou un rayon , là ou n'importe qu'elle file de briserais ! tu restera immortelle dans mon coeur , la solitude ne tient qua une idée , je ne suis jamais seule de toi . je t'aime .
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dans la splanduer de sa noirceur .
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