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dans la splanduer de sa noirceur .
10 février 2008

je serre son pull contre mes bras nue , à défaut de sa chaire .

fleure dans ma chambre , il n'y a plus que du vide et des fleures sécher . je n'est pas encore craquer , pas une flaque , d'émotion emporter tel un spot sur son visage . son odeur s'imagine partout , j'arrête de rêver , je prend les choses en mains . il n'y a que lui que je voudrais voir . c'est le seule que je désir . le seul même qui rend fou les reflet du soleil dans mon appareil . un souvenir retrouver , une douceur au creux des formes . quelque choses à nous . je prendrais mon temps , les gens n'arriverons pas a me presser de vivre , j'irais comme je le sens , comme ce bon vent . je songes déjà au manque , de ta voix à mon réveil , je ne m'en fait pas , je suis bientôt de retour à la maison , le pire sera passer . dit ta femme à ce jour , de foetus cracher , dit ta goy renverser . ah ! ma gorge se joue à être à faune , sale con de psy ! ma force , je la décuplerais , dans tes affaires je me sens toujours nue , il faut dire que je le suis toujours , mais je m'y sens bien , chez moi . quitter un nid pour un autre ? le mien . non , le temps a à m'appendre . les flaQues reflétant le soleil et la profondeur du ciel on beaucoup de secret à me murmurer . je tourne un page et la déplie . papier d'arbres . oh envolons nous , sans pensées . tu a raison ne pensons plus . tant que l'inaccessible de tes forces me permet d'y déposer de l'amour . prend soin de toi et profite . ce claire dans cette pièce ne laisse même pas sa place au vide . il t'appartient . je ne devrais pas me demander ce à quoi je pense , je n'en est pas besoin . je ne dois rien attendre , humainement impossible , tant que je sais . je devrais m'assagir . mais rien est jamais acquis . mais je te le dit , pour moi l'espérance et devenue bien faible sur la dureté de mes sentiment , elle se trouve dans des mots indécent au point que l'on a pu les nommé . comme les mots m'en font pensée à d'autres . sur une voix plus douce , plus rauque abuser de plaisir si innocent . qu'elle tendre inconscience . elle me pousse ni éperdument au vice . sur un ton usée , comme une craquelure de peinture un soir d'été . que vie-je , que vis-je . un sourire narquois à cette bonne prof de français tien ! chacun quand l'on dit un mot tel qu'il soi , pense à la chose qui la représente pour lui , chacun à la sienne , chacune différent , si je ne pense à rien là , je voie des fleures sèchement cramer , d'une végétation fatiguer sous un pont . cela doit représenter se que je vis . comme se château sous cloche de verre enflammer , son sang déverser . mais vous , que vous inspire la nuit en cette heure ? ce n'est pas si terrible de s'adresser en fin de compte . un stupide richesse . je me ronges les ongles au sang , me cachant sous nu sourire . tes mains de filles . je pense , je rêves , je fantasmes . c'est bien moi qui m'égare , prise d'innocence rompue . pour se soir , pour ce temps , qui tomberas de pièce lorsque ton numéro s'affichera , mais il ne se démantèle jamais tu le sais . ce live de depeche mode , m'a encore donner des frisson , the cure se soir m'emporte dans les étoiles , vue du pare-brise de ta voiture , l ou j'y claques des larmes sho0kantes au point que je n'y verse rien . je suis heureuse , tellement que c'est si fin la limite qui sépare le bonheur de la tristesse , comme sur un même file . ton chat me manque , à petit pas de feutres { noire} . je ne te perd pas , je ne perd rien , je me bas de ne rien se laisser ternir , l'image au ton voguant ... oh je ne peu , oh jamais je ne te laisserais te séparer de moi , en ma pensée, peu importe se que tu pense tien , tant que tu m'aime , si il le faut là , j'y croirais pour deux , comme une fougue . mon cheval sauvage brin . la caisse résonnes de sa voix , l'on dirait qu'il pleure lorsqu'il chante , en effet ." you'r name like ice , into my heart " jamais , je le dis , jamais .je t'aime et j'ose l'avouer , si comblée de se soulagement , toi , le futur père de mes enfants . je peu le dire , je peu parler de toi comme d'une brise d'arc en ciel . pour moi c'en est libre . ma fatigue me touche , je t'attendrais au bout de la nuit , si se n'est pour entendre ton souffle s'assoupir . tu es là , mon tendre ange ... à contre idée se clair...
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