la chaleur m'étouffe le froid me flagelles de maux .

la vie est elle une grosse pharse ? je suis si lente à m'habituer , à construire ces marques solide et confiante , durable , que dans maintes mois et peut être même année je serai au stade normale de ces jeunes effarer . mais je préfère , en toute sérénité ne pas m'affaler dans la nuit mais rentrer par sa porte , j'en ai marre de hurler mon sang et mes songes , courant hors d'haleine vers l'idée de l'obscure , mon idée ou plutôt la recherche de la mort et de l'auto destruction . je revois les autorisation de larmes de l'acceptation qua t' on laisser ? grandir pour se surpasser , je refuse , autant mes larmes que mon enfance , je suis . et ne désires que de petit baiser entre mélasser .